jeudi 28 mars 2013

L'instinct de mort de Jacques Mesrine

Une chronique un peu particulière aujourd'hui. Premièrement parce que c'est une autobiographie et deuxièmement car je n'est pas la prétention de pouvoir noter la vie trépidante de l'ennemie public numéro 1 qui a hanté les années 70, j'ai nommé Jacques Mesrine.
Cela peut étonner, ce n'est pas une lecture qui évade, c'est de la violence crue, de la grande délinquance, la vie d'un homme qui a fait parler de lui pendant des annéesà travers ses évasions spec mais chacun ses goûts.
Attention, je ne fais pas l'apologie d'un truand ici. Je partage avec vous une lecture.
L'intinct de mort a été réedité chez Flammarion en 2008. D'après les dires, ce serait Bruno Mesrine, fils de Jacques Mesrine, qui aurait demandé la réedition du livre de son père. En effet, une première édition a vu le jour du vivant du truand.
Ce livre est l'hitoire d'une vie. Autobiographique, vrai, sans détours inutiles, Mesrine nous livre sa vie telle qu'il l'a vécu ou presque. Grand "comédien", il aimait selon les témoignagnes de ses proches "enrober" les faits.
De sa naissance à Clichy-La-Garenne en 1936, à ses multiples évasions en passant par sa rencontre avec sa compagne avec qui il terminera sa vie "Sylvia Jeanjacquot", Mesrine relate les faits qui ont composé sa vie dans le grand banditisme.
Je ne peux pas dire que je suis passionnée par le grand banditisme, ça pourrait porter à confusion mais j'ose avouer que j'apprécie beaucoup pour ne pas dire autre chose, découvrir les histoires de ces hommes qui suivaient les règles du milieu, vivaient selon leurs propres lois en emmerdant le monde.
Ce livre se lit d'une traite, comment mettre une vie en pause? Au fil des pages, les échelons de la délinquance sont gravis, Mesrine trouve toujours à justifier ses actes. Certes, ils ne sont pas cautionnables mais il faut reconnaitre que se faire arrêter au champagne, c'est pas commun. Ce n'est pas le commissaire Broussard qui dira le contraire si?
Je vous avez prévenu, cette chronique, si on peut l'appeller comme ça est un peu particulière, mais je tenais à partager cette lecture originale avec vous et ce ne sera pas la dernière du genre.
À trés vite!

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Un petit autographe?